vendredi 9 décembre 2011

Discrimination positive?

  Personnellement, après un certain nombre de partenaires sur une durée plus ou moins longue, j'ai décidé de discriminer les hommes à qui il manque quelque chose: le prépuce...
  Choix personnel ou non, je ne juge pas leur choix même si je trouve stupide de dénaturer ainsi un organe destiné au plaisir mutuel.

  Déjà, il existe un problème de synchronisation: à une exception près (éjaculateur précoce), j'ai atteint l'acmé bien avant ces messieurs; je finis parfois par trouver le temps long s'ils "n'y arrivent  pas"; évidemment, je les rassure mais bon...
  Ensuite, il y a la douleur et le manque de tendresse. Je m'explique: ces messieurs s'excitent violemment en frottant très vigoureusement contre la paroi vaginale au lieu de la caresser plus délicatement. J'appelle cela le marteau piqueur: un marteau piqueur nous laboure vigoureusement pour enfin "en finir". C'est semble-t'il un passage obligé avant la délivrance... à une exception près d'un homme rompu aux plaisirs de la chair, qui a pris le temps de se dompter.

  Les guider, voire les bloquer est inutile car il semblerait que ce soit pour eux la seule façon d'atteindre la délivrance. Entretemps, tous les lubrifiants du monde ont eu le temps de partir et quand la première douleur s'installe, d'autres suivent... Du coup, ils me vident les bouteilles de lubrifiant...

Cet article m'a donné envie de donner mon expérience sur le sujet; il n'y a donc pas que moi dans ce cas, comme je le pensais.
Personnellement, suite à une dernière expérience douloureuse, j'en viens à songer à les discriminer car l'expérience n'a pas été concluante jusqu'ici... Et je ne suis pas la seule!